Pour cette nouvelle séance Mademoiselle décida de me punir sévèrement.
Cette fois pas de shibari mais du BDSM avec du bondage tape.
Encore libre de mes mouvements, je me présentai au rdv et Mademoiselle m’accueilli avec un grand sourire
« Tu es en avance petite crampe, et juste pour cela je vais te punir »
« mets-toi nu et à genou, masses-moi les pieds, m’ordonna Mademoiselle, puis enfiles ce collant jusqu’à ton nombril ».
Les Pieds de Mademoiselle sont tellement jolis et magnifiques et j’adore les masser.
» Bien petit minable, à genou et tais-toi ».
Mademoiselle me banda les yeux, elle me bâillonna la bouche avec sa jolie main en m’étranglant afin de me faire comprendre que je ne suis rien du tout, juste un cobaye et son jouet.
Première couche de bondage tape
Puis ce fut le silence, Mademoiselle mis de la belle musique classique et commença à tirer un rouleau d’adhésif.
Cela commença à m’exciter, j’ai eu également une grande érection mais je savais que je ne devais pas bander aussi Mademoiselle me scotcha ma petite queue.
Puis Mademoiselle commença à envelopper ma main gauche de ruban adhésif, puis la main droite, puis les pieds, jambes gauche et droite, puis le torse, le ventre…
J’étais totalement enveloppé mais encore libre de mes mouvements, c’était comme une seconde peau qui tirait ma vraie peau.
Seconde couche
Ensuite Mademoiselle m’enveloppa de cellophane, d’abord le torse, puis le ventre, Mademoiselle serra solidement et le plus possible pour que ça soit contraignant, tout en me permettant de respirer.
Elle me passa au niveau des pieds une corde et me hissa par les pieds sur sa poutre, j’étais suspendu comme un gigot, puis elle continua de me saucissonner, et continua les pieds, les jambes et genoux, me voilà totalement immobilisé et pris au piège.
J’étais à sa totale merci et je ne pouvais pas m’échapper !
Bondage tape: troisième couche
Cependant l’œuvre d’art de Mademoiselle n’était pas encore achevé aussi Mademoiselle me reposa au sol.
Avec un ruban adhésif de couleur blanc, Mademoiselle enveloppe tout mon ventre, mon torse jusqu’au nombril, puis encore une suspension par les pieds et avec un ruban adhésif de couleur noir, Mademoiselle attache mes jambes, mes genoux, et mes pieds solidement, puis Mademoiselle me repose au sol.
Pour finir Mademoiselle pris un dernier rouleau d’adhésif de couleur rose bonbon, et me scotcha le visage. Comme le bandeau était blanc et assez fin je pouvais voir la couleur rose à travers.
Je voulais remercier Mademoiselle mais sadiquement elle me bâillonna solidement la bouche de deux tours d’adhésif afin de me faire taire !
J’étais totalement enveloppé et momifié. Totalement immobilisé, je ne pouvais pas m’échapper.
Le final
Pendant un instant plus un bruit.
Mademoiselle semblait s’être absentée. Elle profita de l’instant pour me photographier et admirer son œuvre et me faire ressentir l’état de séquestration, avec la perte de mes sens et du temps.
Mademoiselle colla avec de l’adhésif un vibromasseur au niveau de mon petit sexe, Elle le mit en route et commença à me gifler et à se moquer de moi.
A cet instant je me suis senti vulnérable, ridicule et vraiment à la merci de Mademoiselle. J’étais incapable de bouger, je tentais tout de même de me débattre, mais en vain, je dû accepter mon impuissance. Je dépendais du bon vouloir de ma Maitresse.
Je luttai de toute mes forces pour ne pas céder au plaisir lorsqu’elle augmenta la puissance mais je dû admettre que le plaisir montait en moi sous les moqueries de Mademoiselle.
Toujours en plein orgasme, je tentais de me libérer de toute mes forces, mais j’en fut incapable, Mademoiselle se mit à rire sadiquement.
J’étais dans l’incapacité de parler, ma bouche salivait, j’étais sans doute dans une position humiliante, momifié à même le sol, totalement immobilisé et prisonnier.
J’étais au supplice, en demandant si Mademoiselle aller me libérer ou me garder ainsi toute la nuit.
Mademoiselle arrêta le vibromasseur avant de le remettre à pleine puissance. Elle continua de me torturer, puis elle m’enleva mon bâillon.
Elle me gifla sévèrement à plusieurs reprises avant de me retirer toutes les couches de scotch trempé de sueur.