Education anglaise à Paris
La prise de rendez-vous
T m’a contactée quelques jours avant mon départ. Un mail fort bien écrit détaillant sa déception de ne pouvoir assister à l’atelier mensuel du KinkyClub dont le thème était une dictée. Il se présentait comme un amateur d’éducation anglaise et de la fessée. T avait eu le plaisir de jouer avec de sévères Maitresses lors de déplacements à l’étranger. Il joignait à son mail un lien vers un profil Twitter où l’on pouvait voir qu’il administrait lui-même de belles marques.
Le rdv fut pris et j’étais ravie à l’idée que cela se fit juste avant mon départ et qu’il dût s’absenter de son travail pour venir.
J’eu le plaisir d’ouvrir la porte à un mince jeune quadra, vêtu d’un pull laissant passer le col de sa chemise, d’un pantalon assorti. Toute sa tenue était un camaïeu de bleu jusqu’à ses chaussettes plus électriques.
Inspection et consignes
J’avais décidé de recevoir cet élève absent pour une épreuve de rattrapage aussi je le fis se dévêtir assez rapidement pour passer à l’inspection corporelle.
Bras au-dessus de la tête, il dut ouvrir la bouche, que j’inspectais du doigt avant de passer, au coton tige, à ses oreilles qui étaient propres.
Je lui annonçais n’avoir évidemment pas l’intention de le ménager et lui fit me dire quel type d’éduction il avait reçu. Visiblement T avait l’habitude de recevoir des châtiments corporels dans la plus stricte tradition de l’éducation anglaise. Fessée, paddle, ceinture ; badine mais aussi humiliations. Ce joueur cérébral à souhait qui semblait endurant m’enchantait vraiment.
La dictée
Agenouillé à mes pieds, cul défroqué, je sentais sa gêne et voyais bien qu’il essayait de se cacher. Je fis durer le moment, caressant de ma badine ses fesses blanches. Je venais de le moquer en lui demandant si le sport était en option chez lui. Enfin, il écrivit nom et prénom en haut à gauche, la date en haut à droite et sous ma diction, la difficile dictée. Celle-ci avait causé souci à quasiment tous les candidats et je décidai de la prolonger de quelques lignes pour compenser le fait qu’il ne fut exposé à une assemblée de spectateurs.
Je résistais à l’envie de lui écraser les doigts de mon escarpin mais m’appliquais à marcher autour de lui en faisant cingler ma longue et souple badine. L’éducation anglaise est un plaisir cérébral et physique.
Enfin, je mis un terme à ce devoir et le pria de m’apporter sa feuille. Je m’attendais à ce qu’il le fasse à quatre pattes mais il se releva à moitié, se cachant toujours un peu et s’agenouilla proche de moi. Ma jupe crayon était certainement trop longue pour qu’il puisse apercevoir mes bas. Peut-être la jarretière sous l’étoffe noire ou, puisqu’il était à hauteur, ma poitrine sous mon chemisier crème.
Je dois saluer la créativité de T qui réussi à briller de nullité au-delà de mes espérances. Tandis que je relevais une à une ses fautes, je sentais son regard pétiller de joie à l’idée d’être battu et me délectais à la fois de la cérébralité de cet instant et des plaisirs plus masochistes à venir.
Les châtiments
Je jubilais en lui tirant l’oreille pour le faire basculer en travers de mes genoux. Quel sentiment de puissance ! Je commençais à la main et rapidement, les deux fesses rosirent et prirent une température égale à la rougeur qui les envahissaient.
T ne pipait mot, je lui avais donné rosebud comme safeword. Il encaissait humiliations et claques sur les fesses. Sa copie sous les yeux, il avait loisir à penser à ses erreurs sous mes coups. Il réussit à se corriger mais cela n’était pas suffisant. Après tout, une Maitresse ne veut elle pas le meilleur pour ses élèves ?
Aussi, vint le tour du paddle, lourd, en bois, sculpté par un ami. J’aime le bruit qu’il fait en s’écrasant sur les chairs. Celles de T étaient frissonnantes, une légère chair de poule donnait encore plus relief à la coloration et semblait me provoquer. T essayait de ne pas s’affaisser sur mes genoux et de garder une certaine dignité. Je saisi donc l’occasion de souligner l’inutilité de la chose, la légèreté de sa corpulence valant celle de son orthographe.
Je lui annonçais qu’il ne repartirait qu’assorti à la couleur de ses vêtements. Bleu. Et augmentais la cadence et l’intensité de cette séance d’éducation anglaise.
L’humiliation
Je ne m’arrêtais que pour l’humilier davantage et lui tirer les cheveux, palper ses fesses, jouer à les écarter légèrement car le sentais moins gêné aussi. Oh, il essaya bien de me toucher la cheville, ce qui lui valu une nouvelle volée.
Les fesses commençaient à bleuir légèrement et le temps filait aussi je lui ordonnais se mettre en position sur mon fauteuil en cuir. C’est un large fauteuil bordeaux, accueillant et idéal pour ces pratiques. T put se reposer quelques respirations, le temps que j’admire mon œuvre et qu’il se prépare psychologiquement à la badine. Je décidais de frapper avec peu de retenue après quelques coups cinglants qu’il ne marqua pas comme assez intenses.
Nous étions le 14 aussi 14 coups de badine semblaient de rigueur et adaptés pour cette séance d’éducation anglaise.
Je les lui donnais avec joie et vigueur. J’adore voir la badine former un arc de cercle, réussir à la faire s’écraser sans rebond sur la fesse et repartir cingler l’air. De belles marques commencèrent à zébrer les fesses rouges.
T me remercia pour chaque coup, qu’il encaissa en silence et sans se dérober. Seule la tension dans ses jambes lorsqu’il s’arcboutait contre le fauteuil pouvait traduire sa souffrance.
Le soulagement
Il me demanda, et ce fut le premier à le faire, s’il pouvait se soulager. Mon homme de ménage étant sur le point d’arriver, je l’y autorisais en lui signifiant le côté exceptionnel de la permission. A condition qu’il le fît à genoux, face à sa copie, qui de toute évidence, ne valait pas mieux que buvard à foutre. Je me plaçais dans son dos et lui chuchotais à l’oreille des choses. Il déchargea rapidement sur son torchon, et le saisissant par l’oreille, je le traînais vers la salle de bain où il put reprendre contenance.
J’espérais qu’il allait croiser mon homme de ménage, me délectant à l’avance de ce chassé-croisé.