NaughtyBoy – Mademoiselle Doe Sexploratrice Paris-Aix en Provence

Un bon garçon

J’ai reçu Drako par un bel après midi d’avril. Aussi correct qu’à l’écrit, j’ai immédiatement décelé son côté bon garçon soucieux de satisfaire.

Quelques expériences intimes mêlant obéissance et cravache lui avaient donné envie de s’inscrire sur Fetlife et c’est ainsi qu’il m’avait contactée.

Bien que je l’eusse mis à l’aise par mail, précisant toujours prendre quelques minutes d’égal à égal afin de donner des instructions de sécurité, poser le cadre et lui laisser l’opportunité de se manifester, j’ai senti qu’il appréciait vraiment ce moment et que son stress tombait petit à petit.

L’emprise

« Déshabille-toi ici » lui dis-je en indiquant un coin de la pièce.

« Ne garde que ton boxer. La couleur est très à propos, c’est ainsi que je vais te rougir le cul, et rejoins-moi sur les tatamis. »

Il s’agenouille, tendu. Je peux vraiment voir la tension de ses épaules tandis qu’il attend.

Dans son dos, je prends mon temps pour amplifier ce sentiment d’attente et de doute. L’emprise n’en sera que plus forte ! enfin, je le touche. Je prends soin de placer ma main comme une mâchoire écartée autour de sa nuque et quand la mesure est bien faite, je n’ai plus qu’à serrer l’étau. Dans un même mouvement, je resserre mes cuisses autour de ses hanches et le contraint un instant ainsi. Je pense qu’il comprend tout de suite qui commande ici, et j’entreprends de lui bander les yeux pour achever de le déstabiliser.

Assez rapidement, je confectionne un harnais de cordes autour de son buste, bras dans le dos.

Les ordres

Face à lui, je m’amuse à lui donner des ordres.

« Ouvre la bouche, tire la langue, encore ! plus ! »

Je glisse mon orteil dans sa bouche et le lui demande de me montrer comment il suce, la position n’aidant pas, je décide de lui faire lécher le dessous de mon pied et j’imprime moi-même les mouvements.

Je lui crache dans la bouche pour le récompenser avant de lui passer une paire de baguette métalliques sur la langue. L’émotion doit l’assécher, le filet de bave attendu ne vient pas.

La sanction ne se fait pas attendre, je le somme d’ouvrir grand la bouche, très grand et j’y enfourne une bouche en plastique rose très vulgaire.

Je contrains ses cuisses solidement et j’en mets une en tension, pointe de pied effleurant le sol.

J’agace ses petits tétons avant de leur passer des pompes pour en faire gonfler la base.

Une poupée sur mesure

Voilà qui est mieux, ma poupée commence à me plaire. Je lui donne plus d’allure en le coiffant de culottes colorées. Une petite rose motifs léopard avec liseré en dentelle, plus une autre, fleurie et printanière.  Je doute qu’il imagine ce que je trame alors je le lui dis à voix haute et sans lui laisser le temps de répondre, lui enfonce 2 doigts dans la gorge, au travers de l’écarteur buccal et le fait sucer de force. J’attrape la poignée de tissu dans la nuque et m’en sert de levier pour le faire plonger goulument sur mes doigts. Un gag-reflex manque de le faire régurgiter. Il va vraiment falloir s’entrainer !

Je noue une petite corde sur le devant de son boxer et joue à tirer dessus pour dévoiler son sexe. Celui-ci se recroqueville dans l’étoffe.

Les tétons sont bien gorgés et prêts à recevoir des pinces plus vicieuses. J’en pose rapidement 4 et le laissant apprécier la sensation, pars m’occuper à tirer sa jambe en semi-suspension.  Le voici culbuté, front au sol, la cuisse attachée et levée. L’accès à son boxer est alors plus simple et je le déculotte sans autre forme de procès.

Fessée déculotté

Ramené au sol, à quatre pattes, je lui fais goûter de ce nouveau martinet acheté à un célèbre fouetteur Russe dont j’ai suivi le cours 15 jours plus tôt. J’apprécie l’instrument et joue à caresser, cingler, abattre massivement sur les fesses de Drako les lanières souples.

Un joli rougissement commence à poindre. Je profite de la position pour le basculer sur mes genoux, OTK comme diraient les afficionados et entreprends de le fesser longuement. Je sens son trouble se manifester dans l’étoffe et appuyer contre ma cuisse. Quel vilain garnement !

Plaisirs brûlants

Je me retire et le punis à la langue de dragon de quelques coups bien sentis.

Pour le final, je dégaine ma bougie, celle que je fabrique moi-même, donc je sais que la couleur sera parfaite et la température idéale et je fais couler des gouttes sur son cul échauffé.

Enfin, je le détache et le laisse revenir à lui tout en lui ôtant la pellicule de cire avec une lame aiguisée.

 

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